Pituti Gym s’adresse aux débutants comme aux initiés. A ceux qui veulent entretenir leurs corps ou suivre une préparation physique optimale en vue d’échéances majeures.

A côté du « désert » de l’Océan, existe une oasis de bien-être et de sérénité. Pituti Gymbox étend ses deux espaces – l’un réservé à la remise en forme, l’autre abrite une boutique où trône la ligne de vêtements GBX et une agence événementielle – au cœur de ce qui devait être le poumon dionysien.  Au final vous aurez besoin de vos deux poumons pour suivre la cadence imprimée par Yohann Chaussalet, coach en compagnie de son père, Alain, bien connu dans le milieu du volley-ball péi.

« La salle est très fonctionnelle, explique Yohann, qui a accompli un cursus complet en Staps, management marketing et est titulaire d’un BPJeps assorti d’un diplôme de « Personal Training ». On a un demi-octogone dédié aux sports de combat, de la boxe jusqu’au MMA. Egalement un circuit training adapté à tous les publics. Nous nous attachons surtout à conserver une ambiance conviviale et familiale sans oublier le haut niveau. Avec un maître mot pour tous : la préparation physique, adaptée et individualisée. »

Sans oublier l’élite

Pour preuve. En cette fin de matinée, une dame arrive pour son cours particulier dirigé par Alain, le patriarche. Dans le demi-octogone, Mathieu « le Kraken » Grondin et Francis Boyer entament un « spécifique » MMA, liaison debout-lutte puis travail au sol. « Cela fait quatre ans, pratiquement depuis le début, que Mathieu fréquente la salle, poursuit Johann. Il a combattu en cage à l’étranger et a récemment remporté le Muay Thaï Grand Prix au Port chez les moins de 93 kg. Francis a été couronné en amateurs en MMA. On a aussi travaillé avec le karaté kyokushinkaï, le club Kim Dao en particulier, sur un coaching circuit training trio. On est capable de s’adapter. »

Yohann n’est pas peu fier de la prise en charge des plus petits – le small group training, à partir de 3 ans – jusqu’aux plus grands. Mais il insiste sur « la préparation physique » qu’il veut intense et différenciée. « Notre but, c’est que nos adhérents se sentent non seulement en bonne forme lorsqu’ils sortent d’un cours mais qu’ils aient l’impression, et pas seulement l’impression, d’avoir progressé. C’est à cela qu’on est jugé. Et c’est tant mieux. » Une exigence qui ne peut que forger la réputation du Pituti Gymbox.

Textes: Jean Baptiste Cadet
Photos: Pierre Marchal

   Envoyer l'article en PDF   

LAISSER UNE RÉPONSE

S'il vous plaît entrer votre commentaire!
Veuillez entrez votre nom ici