Florent Kaouachi montera sur le ring de la Tatneft Cup, ce soir à Kazan (Russie), tandis que Giovanni Boyer a vu son combat de samedi soir à Saintes face à Mohamed Galaoui annulé pour cause de blessure de ce dernier.

L’ambiance sera au rendez-vous, ce soir à Kazan (Russie) à l’occasion des 8e de finale de la Tatneft Cup, tournoi K1 réunissant trois catégories (-70, -80 et +80 kg), événement pour lequel le Réunionnais Florent Kaouachi (Mamoudi Gym) sera opposé au Grec Stravos Grigorakakis.

La société événementielle First Fight Prod de Malik Yong Fong à Saint-Pierre et Mahmoudi Gym (Bonneuil sur Marne, 94) ont joué les facilitateurs dans ce combat, tout comme celui qui devait opposer Giovanni Boyer (Bois de Nèfles) à Mohamed Galaoui (Escale Boxing Club) samedi soir à Saintes (Charente-Maritime) dans le cadre de la Nuit de l’Impact V.

« J’ai été prévenu dimanche que mon adversaire déclarait forfait suit à une blessure à une main, expliquait le récent vainqueur du Thaïlandais Ketleng Chamrat à l’1Contrôlable de la Source. Je m’étais préparé comme il se doit, d’autant que c’est la première fois que j’aurais boxé en moins de 65 kg [c’est un moins de 67,5 naturel]. De plus en K1, alors que je boxe le plus souvent en muay thaï. Ce sont des choses qui arrivent. Ma préparation ne sera pas inutile pour l’avenir. »

Le protégé de Jean-Luc Robert devrait rapidement rebondir. Pour Florent Kaouachi, les choses sérieuses débutent ce soir face à un adversaire à qui il rendra une bonne quinzaine de kilos. Le Dionysien a pris l’avion pour Kazan, via Moscou, hier après s’être préparé une semaine avec des sparrings de Mahmoudi Gym. « Je sais que la partie ne sera pas facile, avouait-il la semaine dernière à son arrivée en métropole. Ça va être un combat très dur. »

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Installé à la Réunion depuis 28 ans. Après avoir exercé onze ans comme journaliste au Quotidien de la Réunion, puis fondateur d’une agence photographique MozaikImages regroupant 95 auteurs dans l’océan Indien mais aussi au Japon et en Australie, Pierre Marchal a opté en 2005 pour une activité free lance lui permettant de se consacrer à son sujet de prédilection : l’être humain.

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