Aux Dalons Port Karaté-Do, le kimono se porte au féminin. De plus en plus de mamans karatékas l’ont revêtu pour donner encore plus de sens à leur démarche sportive et trans-générationnelle

 

C’est le grand retour des mamans karatékas au DPKD (Dalons Port Karaté-Do). Christina Lessy, Manon Ariapoutry-Virin, Monique Labour et Marie-Daniéla Lessy ont définitivement intégré le club de la cité maritime présidé par Sergianne Lagrange et animé par Thierry Berfroi, 4e dan shotokan/kyokushin après une première tentative en 2012. Des horaires plus adaptés, une implication sans faille dans le challenge annuel Dalons Martial Heart International et la présence remarquée lors de ce challenge de Magatte Seck – athlète de haut niveau d’origine sénégalaise – en décembre 2017 ont été autant de marqueurs décisifs.

Les mamans ont ainsi exécuté une démonstration bunkai (techniques de katas) lors de l’édition 2017 puis sont passées au nunchaku un an plus tard en compagnie des moringueurs de Lékol Moring lo Port. Les invités Alexandre Boumbou (Congo), Hamza Khaloul (Tunisie) et Euloge Konan (Côte d’Ivoire) s’étaient impliqués dans ce travail d’équipe.

Ces quatre mamans karatékas ainsi que six jeunes athlètes féminines de 4 à 16 ans s’impliquent dans le cadre de la promotion du sport au féminin, avec la collaboration de Magatte Seck.

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