Ce week-end se déroulait la 9eme édition de la Tropicadingue organisée par Ilop. Succès garanti avec plus de 3 000 participants qui ont déambulés dans des costumes plus improbables les uns que le autres pour parcourir les 10 kilomètres de cette épreuve à Champ Borne au Parc du Colosse.
La chaleur et le soleil s’étaient donnés rendez-vous à Champ Borne pour la neuvième édition de la Tropicadingue. Ajoutant un peu plus s’il en était besoin un grain de folie supplémentaire à cette course originale que les Réunionnais ont à cœur de disputer. « Pour frédéric, adepte des trails de moyenne distance « cela change, on peut venir courir en famille, avec des potes, pour une course déguisée, la folie en plus ». Folie, le mot est lâché.
Mi Trail, mi Raid multisport, la Tropica’Dingue qui rencontre de plus en plus d’adeptes chaque année, c’est LE challenge sportif le plus DINGUE et le plus de FUN de la Réunion. Les concurrents évoluent seuls ou en équipe sur un parcours en pleine nature d’environ 10 km et parsemé d’une vingtaine d’épreuves originales.
Cet événement n’est pas une compétition, n’est pas chronométré et ne propose aucun classement.
Le seul impératif est de s’amuser entre amis, en famille ou entre collègues. La bonne humeur et les déguisements sont fortement recommandés. Les comités d’entreprises sont les bienvenus.
Au programme de ces deux jours de folie, de l’eau, de la boue, des passages sous-terrain, des filets, et encore de la boue.
Par vagues de cent dingos, comme on les surnomme sous la houlette du speaker au rythme des sambas et des ségas, il n’y a ni classement, ni jury, et simplement de la joie et un bon teambuilding qui remet de la cohésion dans les entreprises.
Plaisir, entraide, esprit d’équipe et convivialité sont les maîtres mots de cette course. Exit les barrières sociales, hommes et femmes sont égaux, mêlant la diversité en entrant dans le chapiteau « mousse », de ramper dans la tranchée de la « claustro rampe », se faisant colorer comme dans un festival de couleurs. Délire assuré.
Texte et photos Pierre Marchal
